Invité
 |  Sujet: 'Quand les dieux veulent nous punir ; ils exaucent nos prières' Lun 15 Juin - 15:34 | |
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© healing_tears
| DAMN ! KELSEY ROCKS ! ●
WITH Kirsten Dunst
« l'homme a cru qu'il importait d'avoir
ignorant qu'il importe d'être »
© Oscar Wilde |
NOM ~ Hastings, rien à voir avec la bataille, merci.
PRENOM(S) ~ Kelsey, Zoey.
ÂGE ~ vingt deux ans.
DATE & LIEU DE NAISSANCE ~ quatorze juin 1987, dans le Massachusetts.
NATIONALITES ~ Anglaises.
ANNEE D'ETUDE ~ quatrième année.
GROUPE ~ Kappa Tau Gamma.
SOMETIMES LIFE SUCKS, SOMETIMES NO ! ●Je m’appelle Kelsey. Ca se prononce quelle scie, bande d’incultes. Je vais faire court en ce qui concerne ma famille. Lady, ma maman, et croyez le ou non, elle n’a jamais eu honte de ce prénom, prétextant que c’était comme une annonce de sa splendeur, que je nommais comme étant un « pedigree ». Et Dorian, mon papa, que j’associais, de façon totalement indépendante de ma volonté, à Dorian Gray. Non pas parce qu’il était d’une extraordinaire beauté, comme ce dernier, mais parce qu’il était pour moi une sorte de dandy des temps moderne, et que Lady, en bonne femme au foyer fière de ses horribles grains de beauté qu’elle était, ne lui suffisait pas. Enfant, je me plaisais à les regarder se quereller chaque fois avec une puissance plus inouïe, ce qui suscitait mon admiration, sans borne.
Je n’aimais pas tellement ma mère, premièrement, parce que j’avais entendu dire qu’elle m’avait vulgairement expulsée de son utérus à ma naissance, sans aucun cri. Elle avait bravement pincé les lèvres, fermé les yeux, et m’avait offerte à la vie, comme ça, montrant sa fatigue à l’aide d’un pauvre soupir qui vous l’aurez compris, ne me suffisait pas. J’étais bien plus en extase devant mon père, pour qui j’étais l’enfant chérie, et le fait qu’il ait quelques amies par-ci par-là ne me dérangeait guère, puisqu’il s’amusait parfois à me dire à quel point elles étaient ci, à quelle point elles étaient ça, et moi, j’avais toujours apprécié être au courant des moindres choses, et j’avais somme toute une soif d’apprendre considérable. En bref, j’étais qu’une sale môme curieuse, et je le suis encore.
Madeleine fut la seule de ses maîtresses que j’ai haïes avec une force dont je ne me croyais pas capable. Mon père mettait un point d’honneur à ne pas leur donner d’espoir, c’était à peine s’il ne portait pas de pancarte clamant « ne s’engagera pas », et qui se donnait un minimum la peine de le connaître, savait qu’il ne pensait qu’à lui et ne demandait rien à personne. Je commençais à croire qu’elles comprenaient toutes, et qu’elles ne cherchaient jamais à recevoir plus que ce qu’il offrait, mais Madeleine était une collante. Dédoublée d’une fourbe. Certes, elle avait de merveilleux gènes, blonde comme les blés, aux joues roses, un corps svelte, mais elle n’avait pas un QI très élevé, et je l’ai tout de suite remarqué, à défaut que mon père ne s’y était nullement intéressé. Il me l’avait présentée, je ne sais plus pourquoi, il me semble que c’était parce qu’elle lui avait affirmé qu’elle était une fervente admiratrice des Hushpuppies, mon groupe préféré, et qu’il avait – sans aucune arrière pensées – souhaité que nous fassions connaissance. Contre toute attente, elle ne connaissait rien à ce groupe, et ne connaissais tout bonnement rien à l’art, à la musique, et n’avait inventé ça à Dorian que dans l’espoir qu’il l’affectionne avec plus d’attention, si je me souviens bien.
Cette garce lui a fait un enfant. Une petite fille, une petite fille bien belle, souriante, nommée Louise, et qui doit aujourd’hui être âgée de quatorze années, ou alors je ne sais pas, peut-être dix sept. Je ne m’intéresse pas à elle, de toute façon, le fait que nous partagions le même père ne fait pas de nous des sœurs, loin de là, cela fait plutôt de nous des ennemies naturelles. J’avais alors fait le rapprochement entre ma vie, et une jungle, et je demandais à mon père d’être plus prudent, une fois que ma mère reçu l’accord du divorce. Elle avait été trop aveugle pour se rendre compte de ses folies jusqu’alors, mais elle n’avait pas réfléchis une seconde avant de mettre fin à son mariage, une envie de liberté, peut-être ?
Il se trouvait qu’elle était encore très séduisante, et je ne doutais pas une seconde du fait qu’elle trouverait à mon père un remplaçant digne de ce nom. Une petite année plus tard, elle trouva Arthur, un jeune français qui ne comprenait absolument rien à ce qu’elle disait, mais qui lui faisait divinement bien l’amour, d’après ce que j’ai retenu des lettres qu’elle m’envoyait. Et mon père ne s’était jamais remarié, ce dont je ne m’inquiétais pas, puisqu’il était très solitaire, après le sale coup que lui avait fait Madeleine.
Je pensais alors que c’était un mal pour un bien, mais ce n’était qu’une question de point de vue. Et le mien n’était pas souvent partagé, puisqu’un beau jour, Dorian décida de m’envoyer à San Diego. Contre toutes mes volontés et autres protestations. J’avais même été jusqu’à la dissuasion, mais mon père, qui m’avait tout appris, avait un degré d’intelligence au dessus du mien, et ne s’était pas laissé prendre.
Il m’imaginait faite pour un avenir grandiose, et un parcours scolaire brillant. Peut-être que pour ce deuxième cas il n’avait pas tord, mais pour le premier, il s’était lamentablement planté ; je suis en quatrième année chez les Kappa Tau Gamma, et je suis toujours « la fille coincée qui ne parle à personne ». Merci.
I AM WHAT I AM, FOR BEST & WORST ! ● Je ne suis pas une personne méchante, je suis seulement réservée. Et froide, et sarcastique, et j’ai peut-être même de mauvaises intentions parfois, cependant je ne les mets jamais à exécution, mais je ne suis pas méchante. On m’a souvent fait cette réflexion, et quand j’étais petite, je trouvais ça cool, d’être méchante, mais plus je grandissais, plus je prenais la mouche à l’entente de ce qualificatif.
Je crois que tout ceci s’explique par le fait que je n’aime pas vraiment les gens, et qu’ils me le rendent bien. Surtout les filles, allez savoir pourquoi, les filles me déteste. Parce que tandis qu’elle s’extasient devant les plus beaux garçons du lycée, je ne m’intéresse qu’à ceux qui n’ont pour ainsi dire aucune popularité, mais qui n’en sont pas moins intéressants. Je ne peux pas dire d’ailleurs que les plus beaux garçons voudraient de moi, je n’ai pas cette prétention, et ne l’aurait jamais parce que je déteste le ridicule, et se faire lamentablement rejeté, c’est ridicule.
WHAT DO YOU THINK ABOUT THAT ?●Que pensez vous de la présence des paparazzi et de vous dans la presse ? Plutôt heureux de vous voir sur le papier glassé, ou complétement énervé de voir tout le monde vous faire la morale ? Lâchez vous et exprimez vous,c'est fait pour ça !
WHAT ELSE ABOUT YOU ? ●PSEUDO ~
ÂGE ~
OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ~
AVATAR ~
AUTRES ~
Dernière édition par Kelsey Z. Hastings le Lun 15 Juin - 18:44, édité 12 fois |
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Neyliah A. Spencer
▬ MESSAGES : 995
▬ DATE D'INSCRIPTION : 06/05/2009
▬ CONFRERIE : Tri Pi Iota
▬ CITATION : « Que les apparences soient belles car on ne juge que par elles. » - ©Roger Bussy-Rabutin
▬ HUMEUR : Nostalgic
▬ Let's get to know you
▬ L'âge de votre personnage: When she was 22...
▬ Carnet d'adresse:
▬ Etudes: Journalisme.
| | Sujet: Re: 'Quand les dieux veulent nous punir ; ils exaucent nos prières' Lun 15 Juin - 16:00 | |
| Bienvenue sur SDS !
Bonne chance pour ta présa (aà) !
Kirsten ! |
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