© Javen.

I WANT JULES ● RESERVED WITH Gaspard Ulliel (même pas la peine de négocier, les amis) . « Ses baisers laissaient à désirer... son corps tout entier. » © Woody Allen.

NOM ~ Au choix, mais je le nomme Winter pour le scénario.
PRENOM(S) ~ Au choix également, mais appelé Jules pour le scénario.
ÂGE ~ Vingt-quatre ans.
ANNEE D\'ETUDE ~ Quatrième année.
GROUPE ~ Omega Khi Delta.
CARACTERE ~ Vantard. Intelligent. Lunatique. Perspicace. Jaloux. Patient. Indécis. Franc. Rancunier. Drôle. Ironique. Dévoué. Arrogant.
AVATAR(S) ~ Gaspard Ulliel ; non négociable.
QUELQUE CHOSE A AJOUTER ~ Il a un tatouage dans le cou ; libre à vous de voir l\'inscription ; ) .

© Baker Street.
HEMINGWAY ; Sasha London with Keira Knightley.

« Ma chérie, voici Peter, l’homme qui partage désormais ma vie. »
« Bonjour. »
« Bonjour Sasha. Ta mère ne m’a vraiment pas menti, tu es une magnifique jeune femme ! »
« Je vous remercie. »

Sasha esquissa un mince sourire. Sa mère lui présentait pour la première fois son nouveau compagnon. Elle n’était pas spécialement contente de voir un nouvel homme dans la vie de sa mère, mais elle semblait heureuse, alors c’était le principal. Elle n’allait tout de même pas se mettre en travers du bonheur de sa génitrice après tout ce qu’elle avait fait pour elle. Alors, pour elle, elle ferait un effort et accepterait ce Peter.

« Ma mère m’a dit que vous aviez un fils d’environ mon âge ? »
« C’est exact, il ne devrait pas tarder d’ailleurs. »

Il n’avait pas menti. Seulement quelques minutes plus tard, on toqua. Une domestique de la famille Hemingway se hâta pour ouvrir et tous pu accueillir le nouveau venu. En voyant qui venait de pénétrer dans sa demeure, les yeux de Sasha s’agrandirent de surprise.

« Toi ? »

Le jeune homme se tourna en direction de celle qui l’avait interpellé et fut lui aussi surpris. Toutefois, il esquissa un sourire narquois.

« Tiens, Hemingway. Quel plaisir. »
« Oh, je vois que vous vous connaissez déjà. C’est parfait. Ainsi, nul besoin de faire les présentations. »
« Maman, je peux te parler un instant ? »
« Bien-sûr. »

Les deux femmes s’isolèrent dans une des pièces de la maison.

« Qu’il a-t-il ? »
« J’y crois pas. Tu sors avec le père de ce stupide Winter ! »
« Stupide ? Mais je le trouve tout à fait charmant. »
« Ben voyons… »
« Ecoutes Sasha. Tu n’aimes peut-être pas beaucoup Jules, mais j’aime énormément son père. Alors je te demanderais de faire des efforts. Fais-le pour moi, je t’en prie. »
« Ce n’est pas que je ne l’aime pas beaucoup, c’est que je ne l’aime pas du tout. Mais soit. Je vais faire un effort. Mais ne me demande surtout pas de me montrer autrement que polie envers lui. »

« Tiens, mais voilà ma chère sœur ! »
« De un, je suis loin de t’être chère. Et de deux, je ne suis pas ta sœur, alors arrête de m’appeler comme ça, Winter ! »
« Comme tu veux, Hemingway. »

La dite Hemingway lança un regard plus que glacial à l’enquiquineur qui ne manquait jamais une occasion pour l’agacer. Alors qu’elle s’apprêtait à partir, il lui posa une question.

« Si tu me déteste, pourquoi tu ne fais pas en sorte que ta mère lâche mon père ? C’est vrai quoi, tu n’auras plus à me supporter chez toi. »

Elle se stoppa immédiatement et se retourna doucement, plantant ses yeux dans ceux de son interlocuteur.

« Parce que ça serait capricieux de ma part. Depuis la mort de mon père, ma mère a rarement été heureuse. Enfin elle prétendait le contraire, mais je savais très bien qu’elle me mentait. Depuis qu’elle a rencontré ton père, elle sourit à nouveau pour un rien. Elle est heureuse et épanouie. Et ça tu vois, c’est la chose qui me fait le plus plaisir. Alors même si je ne m’entends pas avec toi, je ne vais pas gâcher son bonheur. »

Cet aveu laissa bouche-bée Jules. Puis, sans rien ajouter de plus, Sasha s’en alla et le laissa donc seul, interrogateur.

Se regardant dans le miroir face à elle, Sasha ne vit plus que ses joues rougies et ses yeux gonflés par des larmes qu’elle ne cessait de verser. Il y a quelques heures, elle se sentait encore bien. Mais en quelques minutes, tout avait basculé. Alors qu’elle faisait une sortie avec des amies, son téléphone portable avait sonné. Elle avait décroché, étonné que ça soit Peter qui l’appelle à la place de sa mère. Et les mots qu’il lui déclara eurent le don de la paralyser sur place. Sa mère, l’être qui lui était le plus cher au monde venait de se faire renverser par une voiture qui roulait un peu trop vite. Et sans même avertir ses amies, elle avait hélé un taxi et lui avait ordonné de se précipiter à l’hôpital, là où sa mère avait été emmenée.

Elle était restée à son chevet puis s’était fait relayée par Peter. Et là voilà devant cette glace, dans un toilette de l’hôpital, le regard perdu. Tellement perdu qu’elle n’avait même pas fait attention à la personne qui venait d’entrer.

« Hey... »

Aucune réponse.

« Ca va ? »

Elle se retourna alors brusquement.

« Lâche-moi Winter ! T’es obligé de me suivre partout, juste pour m’emmerder ? Ca te fait plaisir de me voir souffrir, c’est ça ? Ben regarde-moi ! Oui je pleure, t’es content ? »
« Calme-moi, j’étais seulement venu voir comment tu allais. Mais je vois que la question ne se pose pas. »
« Comment est-ce que je peux aller, à ton avis ? Ma mère est dans une chambre d’hôpital, insouciante ! »

Il s’approcha d’elle. Elle commença à lui donner des coups sur son torse avec ses poings, laissant déferler les larmes. Il la prit dans ses bras et lui caressa les cheveux dans l’espoir que cela la calmerait.

« Elle est tout ce que j’ai ! Je ne veux pas la perdre, je l’aime trop pour ça. Je… »
« Chut... Ne dis plus rien. »

Il arriva à la calmer et ils restèrent là pendant un long instant. Il lui sécha ses larmes et lui adressa un sourire sincère.

« Je crois que je t’ai mal jugé. »

Ils se regardèrent pendant un moment, jusqu’à ce que Sasha eut un moment d’impulsion. Elle approcha ses lèvres de celles de Jules et ils échangèrent un baiser tendre, plein d’émotions. Cependant, gênée, la jeune femme coupa court à ce moment intime.

« Je… Je vais retourner voir ma mère, ça vaut mieux. »
« Ouais, t’as raison. »

Elle n’eut pas l’audace de le regarder et partit donc, sans lui adresser un regard.

Depuis ce baiser, les deux étudiants s’évitent, puisque qu’ils sont tout deux gênés pas ce baiser qui a eu lieu il n’y a pas longtemps. Pourtant, ils sentent bien que quelque chose a changé. Ils ne s’envoient plus de piques et semblent beaucoup s’apprécier. Quand ils se croisent, ils sentent une forte attirance l’un pour l’autre mais le fait qu’ils soient presque de la même famille les bloque. Cependant, il semblerait qu’ils ne tiendront plus très longtemps, se désirant dès qu’ils se voient. La question est : quand arrêteront-ils de fuir ?

Espace réservé .

SCENARIO TERMINE & QUI N'ATTEND PLUS QUE VOUS .

je suis là. ; )

Merci beaucoup d'avoir pris le personnage .

Si tu as la moindre question, je suis à ta disposition ; ) .

Je te réserve le personnage ^^ .

Merci de m'avoir reservé le perso et gaspard. : )
bon il me reste plus qu'à faire ma fiche ...

Merci Dodixe =p .

Pas de quoi, c'est moi qui te remercie .